Thierno Bocoum, président du mouvement AGIR, a salué la diligence avec laquelle la justice s’est saisie de l’affaire Azoura, tout en appelant à un traitement équitable pour tous les citoyens impliqués dans des procédures judiciaires. Il s’est exprimé à travers une publication sur sa page Facebook.
« Dans l’affaire Azoura, le procureur a agi, la justice suit son cours. Voilà le signal fort que nous espérions. Il mérite d’être salué sans réserve », a déclaré l’ancien député.
Cependant, Thierno Bocoum n’a pas manqué de souligner ce qu’il considère comme une injustice persistante dans le traitement d’autres dossiers. Il a notamment évoqué les cas d’Abdou Nguer, d’Assane Diouf et d’autres personnes toujours en détention.
« L’injustice qui frappe Abdou Nguer, Assane Diouf et d’autres doit cesser. Eux aussi doivent répondre devant la justice dans les mêmes conditions de célérité et d’équité. Le maintien de leur dossier en instruction est difficilement justifiable, surtout face à des chefs d’accusation qui relèvent du flagrant délit chez d’autres », a-t-il ajouté.
Par cette sortie, Thierno Bocoum réitère son engagement pour une justice équitable, indépendante et accessible à tous, quel que soit le profil de l’accusé ou la nature du dossier.
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