Le Rdpc du président Paul Biya est sous les flammes ardentes. Selon, Léon Theiller Onana, conseiller Municipal Rdpc de la Commune de Monatélé, ces prétendues nominations cachent une manipulation politique.
«Ma procédure judiciaire en référé du 25 mars 2025. Qui constate l’illégalité des mandats du Président national. Et du bureau politique de notre parti. Et demande la désignation par le juge d’un mandataire ad hoc pour convoquer le Congrès ordinaire. Et en fixer l’ordre du jour. Au risque de compromettre toute chance de notre parti au prochain scrutin présidentiel, a déjà produit un premier effet politique ».
Dit-il à la suite des récentes nominations des membres du comité central du Rdpc. Par son président national le jeudi 27 mars 2025. Pour cet élu local, le parti semble être réveillé de son profond coma. « Ces nominations, même si elles avaient été effectivement faites par le Président National de fait, Paul Biya, sont illégales. Depuis septembre 2011, en violation de nos statuts, celui-ci se maintient à la tête du parti », soutient le conseiller.
Gouvernance: le Rdpc fragilisé par des conflits entre cadres
Qui pense que « …Paul Biya n’est pas l’auteur de ces nominations. Ce qui remet au goût du jour la question des fausses et vraies Hautes Instructions. Officiellement évoquée par le Ministre d’État, ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Laurent Esso ».
Manœuvres
Ces supposées nominations sont simplement, selon cet élu local, une manœuvre de ceux qui tiennent notre parti en otage. Lui qui dénonce « cette forfaiture politique. Qui ne règle pas les questions de la légalité des mandats du Président national. Et du Bureau Politique. Ni le défaut de Congrès ordinaire soulevés dans ma procédure. Les adversaires de la démocratie interne au Rdpc. Et du respect de nos statuts pensent banaliser mon action judiciaire ».
Gouvernance: le Rdpc fragilisé par des conflits entre cadres
Pour le conseiller municipal Rdpc de la Commune de Monatélé, les auteurs de cette forfaiture viennent de démontrer. Par ces fausses nominations, qu’ils ont peur du débat judiciaire à venir. « Ils en ont peur car ils savent que chaque militant avisé du parti détient un exemplaire des statuts. Qu’il peut lire et constater que, depuis septembre 2011, le parti navigue dans l’illégalité », conclut l’élu.

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