Publi-rédactionnel / Oligui Nguéma, de la transition à la quête de légitimité démocratique

DIG / Candidat à l’élection présidentielle du 12 avril 2025, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema se présente avec un atout majeur : un bilan de transition salué par une large partie de la population.

À la tête du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) depuis le 30 août 2023, il incarne désormais l’homme de la continuité dans un pays marqué par les séquelles d’un régime discrédité.

Une transition marquée par des réformes majeures

Dès son arrivée au pouvoir, Oligui Nguema a orienté son action vers la restauration de l’État et la justice sociale. Le traitement des retraites impayées, les audits administratifs, ainsi que le renforcement des infrastructures sanitaires et éducatives ont marqué son bilan. Ces mesures contrastent avec l’immobilisme des années précédentes et répondent aux attentes d’une population en quête de changement.

Cependant, le chantier reste immense. Le chômage des jeunes, les inégalités territoriales et le sentiment d’abandon de certaines franges de la société nécessitent des réformes de fond. La Transition a amorcé la relance de l’entrepreneuriat, le soutien aux PME et la modernisation des services publics, autant d’initiatives visant à renforcer la cohésion sociale et l’inclusion économique.

Vers une consolidation du pouvoir par le suffrage universel

Engagé dans la course à la présidence, Oligui Nguema ambitionne de prolonger l’élan de la Transition en ancrant la transparence et l’efficacité dans la durée.

Son programme repose largement sur les acquis du Programme Présidentiel d’Urgence de la Transition (PPUT), avec l’objectif de passer d’une phase de réparation à une phase de transformation.

Le scrutin du 12 avril 2025 sera déterminant pour l’avenir du Gabon.

Pour Oligui Nguema, il s’agira non seulement de pérenniser les réformes engagées, mais aussi de prouver qu’un pouvoir issu d’une transition peut obtenir une légitimité démocratique sans renier ses engagements. À l’heure du choix, les Gabonais devront décider si l’essai de la Transition doit être transformé en un projet national durable.

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